Les plus hautes autorités se servent de leur rang et prérogatives pour fouler au pied les lois régaliennes du Mali pour s’adonner à des malversations financières. C’est tout un système de gouvernance, vieux de plus de trente (30) ans, qui tombera avec tous ses cadres qui ont géré notre pays ces trente (30) dernières années.
Les malversations financières et la corruption ont un coût économique. Elles privent l’État de ressources importantes qui auraient pu servir à financer des investissements, ou à faire face à ses charges de fonctionnement. Elles constituent des facteurs aggravants du phénomène de la pauvreté.
Source : Inter de Bamako
Last Updated on 07/10/2024 by Ousmane BALLO