Choqué par l’attitude de sa femme qui est tout le temps sur les réseaux sociaux, Salif D., 39 ans, géologue sur une mine d’or, décide d’épouser sa bonne qui joue parfaitement le rôle de maîtresse de maison.
Je me suis marié avec la fille que j’aimais, ma copine de jeunesse, il y a quatre ans de cela. Après notre mariage, je suis allé au-devant de ses moindres désirs. J’ai même payé ses frais de formations scolaires. Elle est aujourd’hui comptable dans une société avec mon accord bien entendu.
Bien avant qu’elle ne commence à travailler, j’avais engagé une aide-ménagère pour l’aider dans les différentes tâches domestiques. Depuis quater ans maintenant, je n’ai pas mangé une seule fois de la nourriture préparée par la femme que j’ai épousée.
Une fois à la maison c’est son téléphone qui est sa préoccupation. La bonne fait la cuisine, et le lit, lave mes dessous. Et nos deux enfants l’appellent même maman et appellent ma femme tantie.
N’en pouvant plus, j’ai fini en janvier 2019, par lui lancer un ultimatum : si la bonne me cuisine et lave mes dessous encore, je l’épouse.
Madame n’a pas pu jouer son rôle. J’ai donc décidé d’épouser la bonne comme seconde épouse.
Aïchatou Konaré
Source: Mali Tribune
Last Updated on 25/01/2021 by Ousmane BALLO